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bas et porte-jarretelles
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bas et porte-jarretelles Trois pointS de vue ♀ ♂ ⚧ sur les bas et porte-jarretelles ♀ le porte-jarretelle, du point de vue des femmes, ce n'est ni pratique ni confortable : 1. Ça scie la taille. 2. Ça tire. 3. Ça glisse. 4. Ça laisse passer le froid. 5. C'est difficile à attacher. 6. C'est délicat et long à régler en hauteur. 7. Ça a tendance à godiller en haut. 8. Assise, les jarretelles compriment la chair, à la longue ça fait mal, certaines en ont même des bleus. 9. Parfois une jarretelle lâche et il faut d'urgence trouver un lieu à l'abri pour la remettre ! 10. C'est moche : ça fait ressembler n'importe quelle femme a un saucisson sur pattes ! Et surtout : c'est d'une vulgarité sans nom ! Si on s'aperçoit que vous en portez, vous êtes cataloguée... ♂ Le point de vue des hommes est bien normal : a. Il est devenu un accessoire coquin. On pourrait dire que le porte-jarretelles est un signal ... peut-être pas de la part de celle qui le porte ; mais assurément de celui qui le voit. b. L'objet est effectivement connoté et l'homme a l'impression de jouer avec un tabou : femme respectable en dessus, accessible en dessous. La jupe a déjà cet aspect : un regard, une main, une bouche, plus si entente, peuvent s'y glisser. Alors s'il n'y a plus la barrière d'un collant... c. En percevant du regard ou par le toucher la petite bosse de la jarretelle ou la démarcation d'un bas, l'homme entre dans un monde « de délices en attente » comme le dirait Gainsbourg ! La promesse d'une folle nuit, d'un pas encore déjà là pourtant... L'élasticité des jarretelles portent toute la tension du désir, toute la tension du déjà pas encore, toute les tensions symboliques des plus bas instincts associés au plus noble des sentiments. d. D'autre part, elles font entrer dans la dialectique du cacher/dévoiler! Une partie du corps humain nue reste prosaïquement un morceau de viande, si délectable soit elle. En revanche, cachée, elle attire l'œil, active le fantasme, donne envie d'en voir plus... surtout lorsque l'on découvre avec ravissement que ce ne sont point des collants, mais des bas! on ne cache pas tout... on laisse rêver les caresses et les plaisirs. e. Enfin, lorsque l'on fait l'amour; moment infiniment tactile; les jarretelles guident les doigt et les lèvres... et encadrent le saint des saints, comme toute œuvre d'art qui se doit d'être encadrée. Les jarretelles soulignent les courbes et les valorisent. Elles guident et pas seulement le regard.  C'est ces aspects des « délices en attentes », tensions du désir, rêve de caresses et de plaisirs que j'aimerai faire partager à celles qui le porte. -- L'objet est tactile. On le sent sous la robe ! Les jarretelles caressent à chaque pas le haut des cuisses. Plus le bas monte haut, mieux c'est ! Celle qui ose, perçoit immédiatement cette sensation déjà délectable. Si, en plus c'est un bas voile et non pas mousse qui habille la jambe, alors c'est toute la jambe qui est caressée, des orteils jusqu'au haut de la cuisse, en passant par le talon, la cheville, le mollet, le genou, et les endroits plus haut et plus intime. Si c'est un bas voile avec une vraie couture, les déformations du tissu qui accompagnent les mouvements sont encore plus accentuées et les caresses prodiguées par ce tissu deviennent encore plus perceptibles. Plaisirs immédiats, vous dis-je, pour peu que celle qui les porte dépasse l'inconfort et l'incommode de prime abord ressentis. -- Quatre jarretelles caressent tels quatre doigts. Où est le cinquième ? Où va-t-il s'insinuer. Que va-t-il faire ? Quelle attente ! La femme se rendant auprès de son partenaire anticipe elle-même son futur plaisir. Elle anticipe aussi le plaisir qu'elle procurera. Et elle anticipe son plaisir, celui qu'elle offrira à son amant. -- Femme respectable pour tout autre regard que celui de l'aimé, elle est déjà femme libérée, femme accessible, femme disponible pour l'amour. Si en plus, à moins qu'il ne faille dire : en moins, il n'y pas de culotte ou une culotte ouverte... Elle joue la femme respectable, tout en sachant ce qu'il en est en dessous, en dessous du masque de la respectabilité. En enserrant la taille comme tout à l'heure, l'amant l'enlacera, le PJ se laisse sentir, et permet d'entrer dans les tensions des délices en attente. --Toutes les petites filles jouent à provoquer pour se refuser ; la femme qui ose le jaja, ancienne petite , joue. Et elle retrouve les joies du jeu : Cacher/dévoiler, accessible/inaccessible, disponible/indisponible... provoquer/refuser. Les plaisirs du jeu sont divers et multiples, d'autant plus forts aujourd'hui, qu'ils ont été déjà ressentis autrefois. On laisse rêver son propre rêve, tout autant que celui de son partenaire. -- Enfin, le Trésor. L'offrande du trésor (la vue), la découverte du trésor (le toucher), l'évaluation du trésor (le goût), le partage du trésor (le coït) doivent-ils se vivre dans la soie ou dans le crins, dans un cadre charmant et romantique ou dans un baisodrome, au milieu des roses ou de l'aubépine ? Si pour vous le cadre de l'amour possède la moindre importance, tout ce qui souligne, pare et guide vous-même ou votre amant a sa place dans nos ébats. |
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C'est bien, ainsi, on a les 3 points de vue !!!  Bises, C.[/B]
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Bonjour Rita Mon plus grand souvenir érotique de môme c'est la photo d'une femme rajustant ses bas. Aussi maintenant je ne pourrais pas sortir en fille sans mon porte jarretière et mes bas et combien de mecs me disent " Annie tu me fais bander sexy comme ça " ♥ Poton ♥ Bisou ♥ Annie ♥
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Notre vie est un voyage-♦-Dans l'hiver et dans la nuit
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