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GATEAU D'AMOUR
Publié :22/8/2009 15h12
Dernière mise à jour :19/8/2011 12h13
17013 vues

Voici une recette trouvée sur internet à savourer :

GATEAU D'AMOUR

Ingrédients :

- un lit chaud
- 2 corps différents (préalablement lavés)
- 500 gr de caresses (ou plus)
- 50 gr de baisers (ou plus)
- 1 banane pas trop mûre
- 2 kiwis
- 2 pamplemousses (grosseur à volonté)
- 1 four préchauffé à feux doux

Préparation :

- Introduire les 2 corps dans un lit chaud avec 50 gr ou plus de baisers

- Enduire la surface des corps avec 500 gr ou plus de caresses (en ajouter, si pas assez sucré)

- Couvrir ces 2 mêmes corps, en particulier la banane jusqu'à saturation (attention : ne pas faire de blanc en neige avec la banane)

- Agiter, avec ménagement, les 2 pamplemousses, les faire dorer très légèrement sans les faire rougir

- Mettre la banane préalablement chauffée, du bout des doigts dans le four à température ambiante

- Essentiel : laisser les 2 kiwis non pelés à l'extérieur!

- Manœuvrer la banane très délicatement en va et vient. La sortir de temps à autre et la retourner, afin de contrôler la cuisson : ceci afin qu'elle ne perde pas son jus.

- Extraire le jus de la banane, qui lui, doit rester dans le four.

tirer celle-ci avec légèreté.

- Pour achever le gâteau, laissez macérer dans les mains ...ou essuyer le surplus avec la langue, ceci étant laissé au choix de la cuisinière.

- Laisser refroidir

Ne pas omettre de recommencer fréquemment la recette, afin d'en savourer chaque fois davantage le goût.
10 commentaires
VIVEMENT LES VACANCES ............
Publié :29/7/2009 2h04
Dernière mise à jour :10/12/2009 5h23
15793 vues
Vivement les vacances, je suis épuisée. Il me faut bien trois semaines … …… une semaine pour décompresser, une semaine pour profiter, et une semaine pour faire le plein d’énergie pour repartir

Profiter du sable chaud, m’étendre, dormir enfin, mais il faudra tout de même de la crème sur ma peau très claire si je ne veux pas ressembler à un homard Sentir le soleil chauffer ma peau comme les baisers d’un amant….

Peut être faire l’amour dans la mer, qui sait ??? la Rose va se faner au soleil il faut bien l’arroser … ah ne dites pas berk.... les poissons le font bien et sentir le corps de l’autre glisser contre le mien tout chaud et l’eau est porteuse en plus. N’avez-vous jamais fait l’amour dans l’eau ????

Veiller plus tard en allant dans des endroits animés où la bonne humeur et la détente sont de mises, et faire les grasses matinées le lendemain matin.

Plus de téléphone, plus rien, le vide, la détente…….. ah vivement les vacances

2 commentaires
Cr
Publié :4/7/2009 15h25
Dernière mise à jour :1/6/2011 11h41
15698 vues

Le soir, dans l’ombre jauni
Nous boirons le fruit de la passion
Que nos corps alanguis
Se gorgeront d’un linceul d’émotion

Une pluie d’étoile dans la tête
Les yeux coloriés de plaisir
La petite chambre mignonnette
Regorge de soupirs

Je me brûle en toi
Et comme de la braise
Je suis toute en joie
De tes lèvres que je baise

Dans mon corps pleuvait la sensation
Et tu vins en cueillir les fleurs
De l’ultime émotion
Déversant ma douce liqueur

En mon cœur enchanteur
Tremblait le séisme dévastateur
Que provoquait avec ardeur
Ta langue sans pudeur

Je laisse flotter sur toi cette douceur
Que ta raison réclame
Faisant lever la raideur
Que ton désir enflamme

Puis nos âmes se marièrent
Dans un regard muet où je murmurai ton nom
Et nos souffles s’embrasèrent
Dans notre totale communion

Goutant à la tiédeur parfumée et fleurie
De ce corps couvert d’ambre
Sous la flamme de l’amour épanoui
On gémit et on se cambre

Mes serments les plus doux
Eclataient en rire de cristal
Se mélangeant dans mes larmes partout
La jouissance qui survient brutale

Ta main se contenta d’être victorieuse
Une possession d’un instant d’ivresse
Sur ma hanche laiteuse
Souvenir d’un instant de tendresse

A travers les volets
La nuit nous a recouverts d’or
Nous surprenant tendrement enlacés
Vers un repos bien mérité alors
4 commentaires
RENCONTRE- acte 2- l'amour
Publié :25/4/2008 12h31
Dernière mise à jour :29/6/2009 3h04
18092 vues
En refermant la porte, doucement derrière toi, tu nous laissais mûrir nos projets. De ton coté tu devais aussi trouver une explication plausible à ce retard... Nous laissant un peu de temps pour faire nos ablutions, tu t'éloignais en voiture et t'arrêtais pour une petite sieste bucolique... Hanté des fortes impressions reçues et des heureux présages imaginés....

Tu t'approchais de la maison, quelques temps plus tard. Cette fois, tu allais directement sonner à la porte.... Tu entendis rapidement derrière celle-ci, un bruit de talon haut claquant sur le sol de l'entrée. La porte s'ouvrit et .... Surprise!... Deux femmes se présentaient ... Deux femmes vêtues, ou dévêtues?.... Deux femmes adorablement excitantes pour toi.... Je portais sur moi qu'un petit corset de satin noir, très souple, bordé de dentelle. Les seins, aux aréoles écarlates, turgescentes, sortaient de leur nid douillet. Les bas étaient retenus par de minuscules jarretelles noires. Les cuisses blanches resplendissaient tandis que mon sexe, dans l'ombre était nu... Naturellement, sans autre préambule, je te présente alors mon amie, Lilith… Lilith porte une très fine lingerie, dont le soutien gorge ouvert en triangle laisse apparaître sa poitrine opulente, ses bouts de seins rouges d'excitation. Le body fendu devant et derrière, cache dans les replis ses trésors secrets. Ses fesses rondes ondulent dans le piétinement sur ses talons hauts.... Nous tenant par la main, nous ne laissons aucun doute sur nos sentiments, sur l'expérience que nous venons de vivre. ...

Ne perdant pas de temps, nous te conduisons toutes les deux au salon, en ondulant des hanches, exposant la rondeur de nos fesses, tu marches derrière nous et nous voir ainsi te fait de nouveau bander... enlacées, nous caressant je te dis de te déshabiller toi aussi. Tandis que je défaisais les jarretelles, laissant apparaître mes jambes. Lilith se frotte entière contre toi, ronronnant comme un animal, un félin, elle défait ta chemise, te caresse le torse, glisse ses doigts fins dans les poils de ta poitrine, descend lentement vers le ventre, se glisse sous la ceinture que tu défais rapidement. Puis elle libère ton membre de son carcan et le flatte tandis que descend le pantalon... Tu es bientôt nu devant tes maîtresses. Sans attendre, Lilith prend ta queue dans sa bouche et de sa salive la mouille abondamment, puis la branle un peu, la reprend de ses lèvres délicates, la gobe, la mouille, l'avale avant de la ressortir de nouveau pour la branler, la modeler. Une autre main prend tes testicules, puis une autre bouche, une autre langue vient lécher la hampe, érigée. Deux langues se rencontrent sur le gland, le titillent. Tu es avec deux anges, deux anges qui t'engloutissent chacune leur tour. Deux anges épris de caresses, de plaisir.... Toutes les deux à genoux, sur le grand tapis épais, nous te donnons une magnifique fellation mais tu désires d'autres caresses et tu te laisses tomber près de nous... Tous les trois, nous nous retrouvons ensemble pour nous frotter corps contre corps, seins contre seins, ventre contre ventre. Les mains se caressent, les bouches se baisent, les sexes se touchent... Nous ne sommes plus trois corps, nous sommes devenus bouches, doigts, langues, orifices, appendices. Nous sommes devenus toucher, voir, sentir, gémissements... Les corps s'enchevêtrent, bougent lentement, les bouches cherchent une autre bouche, un sein, une vulve, une verge.... Tout n'est que plaisir, tortures délicieuses sous les mains qui fouillent, caressent, branlent, pressent, griffent les chairs enflammées de désir....

Tu cherches le corps plein de Lilith, je l'embrasse entre les cuisses, étendue sur le dos, elle a posé une jambe sur mon épaule. Sous mes baisers, elle gémit, essaie de se soustraire à mes baisers, à mes morsures, à ma langue qui la pénètre aussi dure qu'un phallus…. Tu voudrais la pénétrer, mettre ta queue dans son puits d’amour, ruisselant sous mes caresses. Mais ses fesses se retrouvent contre mon visage, les écartant j’y glisse un doigt dans l'anus. Je sens les contractions de Lilith sous tes baisers lorsque tu la parcours de ta bouche, avide d'en connaître les moindres parcelles…. Ta bouche, ta langue joue de sa bouche, de sa langue dans de longs baisers interminables. Elle ne s'échappe de ces baisers qu'en s'empalant encore plus sur le doigt qui glisse en elle, plein de mouille sur la langue qui la titille et qui lui procure du plaisir. Tu lui donnes ta queue, des gouttes perlent à son extrémité et tu les lui offres... Elle t’avale, ses dents te mordillent, ton gland butte au fond de sa gorge. Puis elle te repousse, elle va crier, elle va jouir...Non, tu as envie de la prendre, toi aussi, de lui mettre maintenant la queue entre ses fesses, à la place de mes doigts…. Mais je cesse de l'embrasser, et elle, elle veut jouir, perdant tout contrôle, elle se précipite sur toi, écarte tes jambes et s'empale sur ton membre… Tu sens sa mouille couler, les mouvements délicieux de sa chatte à la recherche de l'orgasme mais alors que celui-ci monte, monte elle s'arrête soudain, pour prolonger ce plaisir

Elle se renverse en arrière et vient offrir sa bouche à mes seins dont les bouts en feu sont avides de caresses. Moi aussi j’ai envie de partir vers l'orgasme, je cherche ta main, ta main qui me pénètre comme un sexe. Ta main qui m'empale pour me faire jouir mais moi aussi je veux prolonger ce plaisir, je m'éloigne, la main me poursuit... Main vivante qui apporte la paix.... nous décidons de prolonger encore cette merveilleuse étreinte et nous nous regardons, heureux, troublés, les corps luisants de plaisir... Tu voudrais nous prendre tour à tour de ton sexe, nos fesses côte à côte pour recevoir ton membre qui perle d’envie, tu voudrais la mettre dans nos orifices distendus d’avoir été longuement, branlé par des doigts inquisiteurs, tu voudrais décharger ta liqueur de plaisir dans nos deux anus, en mettre partout sur nos fesses, luisantes de nos mouilles… Tu en as envie, envie d’aller maintenant jusqu’au bout de la route du plaisir….. Nous ne pouvons nous maîtriser plus longtemps, et bientôt tous les deux nous nous occupons de Lilith avec la volonté de lui extraire de son corps la dernière sensation de plaisir.... Enlacée, couverte, enveloppée, léchée, pénétrée, mordue, torturée par la queue, les mains, les doigts, les langues partout à la fois... Elle désire être satisfaite maintenant et appelle, jambes écartées, ouvertes cherchant à se faire jouir seule et se frottant à toute chair passant près d'elle... Mais nous ne la laissons pas faire, pour la faire patienter, nous la pénétrons d'avant en arrière, nous la branlons pour nous retrouver tous les deux au dessus d'elle, nous embrassant, nous pénétrant, nous excitant mutuellement. Je te donne ma chatte que tu prends de ton pénis au dessus de son visage. Ma mouille coule sur elle, Elle tente de se soulever pour venir nous caresser, elle va se branler mais nous nous séparons pour l'en empêcher et venir recueillir son extase, ses spasmes de plaisir.... Nous recommençons alors à nous embrasser, à nous caresser partout, nous pénétrer dans tous les orifices.... Ta queue, comme un fer rouge, longtemps battu, ne peut retrouver qu'un fourreau pour la tremper... dans ma chatte, brûlante et accueillante, tu t'enfonces pour y trouver la jouissance et partir avec moi, tous les deux; partir, gicler ta semence, en même temps que ma cyprine. Jouir sur le corps de Lilith, partager tous les trois cette délicieuse liqueur....

Alors, tous les trois, repus de tant de plaisir, nous prolongeons ce plaisir encore en nous léchant, en nous buvant, en tout touchant les sexes enflammés en nous disant aussi des mots tendres, pleins d'amour, du plaisir reçu, d'une nouvelle amitié, d'un nouvel amour grisant….
Défaits, nous nous reposons un peu puis nous nous proposons de passer le WE ensemble, afin de ne pas nous quitter en si bon chemin....

Encore luisant de liqueur nous gagnons la salle de bain pour une petite toilette…. De chattes
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rencontre I
Publié :16/4/2008 9h16
Dernière mise à jour :14/4/2010 12h06
18086 vues
Nous avons décidé de nous rejoindre pour quelques heures d'évasion dans une petite ville touristique, située à mi chemin de nos domiciles... Nous avons, d'un commun accord, décidé que chacun prendrait sa voiture, ayant à peu près la même distance à parcourir... Hélas, sur la route, une panne assez importante m'oblige à m'arrêter dans un village pour réparer. Le garagiste propose de garder la voiture en attendant les pièces de rechange qui devraient parvenir le lundi et la réparation serait très rapide... Pas de problème pour moi, il suffit de t'appeler et je ferai un peu plus de route pour te rejoindre avant de regagner notre hôtel. Hélas, tu ne réponds pas, tu n'as sans doute pas le portable en service ou la musique est trop forte....

Une cliente du garage, qui a entendu toute la conversation et au courant de mes problèmes se propose alors de m'aider. Elle habite sur le trajet et m'invite, si je le désire à l'accompagner; sur la route je pourrais de nouveau essayer de rentrer en contact avec toi. Ainsi pas de perte de temps... j’accepte volontiers; la jeune femme est très élégante, un peu potelée, dynamique est très avenante. Le temps de faire un peu connaissance, le voyage se passe rapidement et me voilà bientôt près de chez et c’est là que je n’arrive à te joindre... tu prévois être là dans une bonne heure, peut être deux...

Comme nous avons sympathisé, elle m'invite chez elle pour une petite collation. Le salon est très agréable, je m'assieds sur un grand canapé pendant que la maîtresse de maison prépare un rafraîchissement. S'asseyant près de moi, dans l'immense canapé, sa jupe courte se relève, dévoilant de longues jambes nues. Son parfum, très envoûtant, apporte une note mystérieuse dans le salon... Cette atmosphère devient soudainement lourde lorsqu'elle allume soudainement le lecteur de dvd et qu'apparaît sur l'écran deux femmes se caressant intimement. Surprise, il me semble que l'une de ces femmes n'est autre que mon hôtesse, je m’'apprêtes à lui faire part de mon étonnement quand je sens à cet instant sa main se poser doucement sur moi, son souffle chaud sur mon cou, ses lèvres qui se rapprochent inexorablement de la peau .... Raidissant la nuque sous le frôlement du baiser léger, je goûtes à ses lèvres gourmandes, tout près de l'oreille, pendant que sur l'écran les ébats des deux femmes de plus en plus osés fait naître en moi un désir nouveau.... Abandonnant toute retenue, je me laisse aller à la douceur des mains qui se promènent sur mon corps, et ma bouche répond à cette bouche gourmande. Mes lèvres contre les lèvres moites de mon amie, nous scellons un accord nouveau de plaisir à partager.... Un accord de tendres effusions... Enlacement, embrasement, les corps se mêlent de plus en plus intimement, seins contre seins, ventre contre ventre, bouche contre bouche, mains se rencontrant, se séparant se liant de nouveau....

Ma timidité naturelle disparaît, je suis conquise par cette femme. Me rendant à sa merci, désirant offrir mon corps à mon amante, portée par un goût certain de l'exhibitionnisme, et, pour ne pas montrer l'envie d'être nue aussitôt, je me lève afin d'ôter mes vêtements un à un... Après le pull, j’apparais nue dans un soutien gorge de dentelle que je viens d'acheter dans le but de t'affrioler.... mes seins mis en valeur, aux tétons érigés à travers le tissus arachnéen ne laisse pas indifférente mon amie qui se dévoile aussi en même temps que moi. Puis la jupe noire, en corolle, tombe à mes pieds en révélant mes jambes gainées de bas noirs, ma chair blanche, généreuse contrastant avec la couleur de la jupe et des bas. Enjambant la jupe, je m’approche de mon amante nue, délicieusement belle, et, ôtant son string, je lui offres cette lingerie fine, mouillée et parfumée... Elle la prend de ses doigts légers et, délicatement la porte à sa joue avec un sourire de connivence puis bientôt à ses lèvres pour s'en humecter et goûter à l'enivrant parfum.....Le goût musqué du string, l'atmosphère gorgée de désir nos corps nus se rejoignent de nouveau dans une danse érotique, découverte des corps où il y a la frénésie des seins qui se touchent, se pressent, les mains qui s'explorent de plus en plus intimement. ... Nous sommes nues et se livrons à une orgie de caresses, tendres, douces, merveilleusement sensuelles....

C'est dans cet intervalle de temps que tu es apparu à la fenêtre du salon. La distance, moins éloignée que prévue, repérant la maison rapidement, personne ne répondant, tu as l'impression de sentir des mouvements, des bruissements venant de la fenêtre proche.... Et tu découvres un spectacle rêvé. Un spectacle qui te submerge aussitôt de désir.... Deux femmes, enlacées, deux femmes liées l'une à l'autre, deux femmes se dévorants de baisers leur intimité. Tu vois des corps qui se recherchent, s'aiment, se donnent et se prennent. Tu perçois des gémissements sensuels, des cris de plaisir, des feulements de panthères occupées à un jeu où l'enjeu est la jouissance de chacune, l'orgasme. Tu ne peux t'empêcher d'entrer dans la maison, de t'approcher de la porte du salon et là, goûter au voyeurisme.... absolument voluptueux, tu contemples le mélange des courbes, les seins, les fesses qui tressautent de plaisir. Les culs qui tour à tour se font caresser, pénétrer, les langues qui se mangent les bouches qui se boivent les jus qui luisent. Les chattes s’embrassent, s’interpénètrent, cherchent à se caresser mutuellement le clitoris... Divin de voir deux déesses se gouiner ainsi.

Tu as libéré ta queue, bien trop à l'étroit dans ton pantalon et tu la caresse doucement, tout doucement car tu crains qu'il ne faille pas de caresses très profondes devant un tel spectacle sinon tu vas décharger....Tu branle ton sexe, juste pour lui faire ressentir la douceur de nos ébats. Tu voudrais la mettre dans nos chattes gluantes, nos chattes chaudes et excitées... Tour à tour. Nous faire jouir tour à tour, gicler en nous tes saccades de spermes qui viendraient éclabousser nos fesses, nos clitoris brûlants.... Mais hélas ta jouissance vient, seul, en nous observant discrètement, en contemplant nos jouissances. Tu gicles en nous mâtant, voyeur lubrique... Tu goûtes nos plaisirs. Nos plaisirs saphiques, voluptueux, des plaisirs que je semble apprécier au plus haut point....Oublié, le WE en amoureux, oublié les caresses de queue, le phallus, que j’aime sucer. Cette chatte, gluante, béante me procure de merveilleux émois.... Et mon amante en est, elle aussi toute retournée par tant de sensualité débridée. Nos gémissements, nos mots tendres susurrés ont masqué le bruit de ta respiration haletante lors de ton orgasme....

Maintenant, revenu à une certaine flaccidité, tu t’es calmé et examinant les lieux tu te caches plus discrètement afin de mieux nous mâter... Car la fine partie n'est pas terminée, se levant bientôt, mon amante se retire un instant dans la chambre contigüe, me laissant nue, défaite, ouverte, maculée de mouille, sur le canapé. Epuisée de jouissance, immobile, les yeux fermés, je ne vois pas ma partenaire revenir de la chambre.... Toujours nue, elle est ceinte de lanières de cuir portant un godemichet. Le phallus érigé, les seins gonflés de désir elle revient vers moi. On dirait un nouveau type humain, reliant la grâce de la féminine et la force masculine. Tu bandes de nouveau devant cette femme, mélange de désir d'être témoin, de participer à la suite des ébats, d'arrêter cette sarabande qui va compromettre notre rendez vous en tête à tête.... Mais je paraît si enjouée, si heureuse de la revoir ainsi alors que j’ouvre de nouveau les yeux vers elle, l'entendant approcher que tu ne fais aucun mouvement, tu restes ainsi spectateur des disciples de Lesbos....

M'agenouillant sur le tapis du salon, je me saisi à pleine main de la prothèse longue et fine et tranquillement avec sûreté je la branle, appréciant à la fois la douceur et la fermeté du matériau à l'image d'un véritable sexe d’homme. Celle ci se prolonge en mon amante et à chaque mouvement de va-et-vient, elle ne peut retenir des gémissements de plaisir. Je ferme les yeux et j’imagine être en train de donner une véritable fellation, lorsque de mes lèvres humides, j’engloutis cette queue. Hélas, elle ne donne pas les mêmes sensations dans ma bouche, pas les mêmes réponses à ma langue experte qui sait si bien retirer les douces plaintes de plaisir quand elle se promène sur la hampe dressée, sur le frein tendu, sur le gland rouge de désir.... Aussi, je ne tarde pas à vouloir la goûter d'une autre manière. Je me retourne, et, prenant appui sur le canapé, j’offre à ma partenaire mes fesses, mon cul, ma chatte luisante qui paraît un peu cachée mais très attirante car, rouge d'avoir été tant baisée précédemment, on dirait une belle rose prête à être cueillie. Tu ne perds rien du spectacle, toujours caché, et tu voudrais bien entrer dans mon vagin, y mettre ta tige à cette adorable rose.... Mais c'est mon amante qui va le faire pour toi. S'agenouillant à son tour derrière moi, elle guide sa queue en latex dans ma grotte gluante.

Je crie de plaisir lorsque je reçois cette longue épée jusqu'à la garde. Elle va-et-vient dans son fourreau bien huilé et chaque fois retire des gémissements de plaisir de toutes les deux. Mes fesses tressautent à chaque pénétration, les fesses de mon amante se contractent, les seins ballottent au rythme des secousses imprimées par les coups de reins. C'est un joli spectacle que nous t’offrons toutes deux. Un spectacle très érotique, fait de courbes harmonieuses, de cheveux qui s'enflamment, de cris, de gémissements... Se couchant sur mon dos, elle se saisi de mes seins, les caresse, les pelote, me griffe les fesses, me mordille l'épaule. Ses seins s'écrasent sur mon dos, ses fesses tressautent, elle se les caresse, cherche à se pénétrer de ses doigts l'anus qui s'épanouit de plaisir, de désir.... Soudain elle jouis, elle jouis longuement, détache la ceinture du gode, se libère du sexe qui comble sa chatte et se glisse le long de mon dos pour s'agenouiller derrière moi. D'une main, elle branle le gode dans mon vagin, et de sa langue, me caresse Lentement l’anus, elle me fait jouir, je cries, je coule, j’arrose de ma cyprine... Elle me boit avidement, s'enfonce plus profondément les doigts, me branle encore et encore.... Puis se saisissant de l'autre extrémité du gode elle me l'enfonce dans mon anus. Je ne peux réprimer un cri de douleur et de plaisir mélangé.... A peine sortie de l'extase, je suis de nouveau prise, reprise...je suis prise dans mes deux trous, possédée, ouverte par le gode qui me laboure manœuvré par une amante qui désire me porter à la jouissance absolue. ... Oui, je crie, crie mon plaisir, ma jouissance. Je me fais masturber par ce sexe qui me fend, me déchire.... je prends mon plaisir. Coule ma joie.... Ouiiiii, toi aussi tu viens, tu viens de me voir déchaînée, ivre de jouissance, ivre des caresses prodiguées par cette femme inconnue, que toi aussi tu voudrais baiser....tu aimes son cul, tu voudrais le prendre, tu sens qu'elle désire se faire prendre ainsi car ses doigts vont et viennent si rapidement.... tu éjacules encore en nous regardant, si bon, si bon....

Après cette exaltation montée à son paroxysme vient l'apaisement de nos corps repus de caresses.... Nous nous apprêtons à nous lever pour rejoindre la salle de bain pour un petit brin de toilette... Nous nous étonnons de ne pas avoir de nouvelle de ta part.... tu as dû te perdre, te tromper sur le temps nécessaire pour me rejoindre... La main dans la main, nues, nous nous éloignons en nous disant encore que nous allons te réserver une petite surprise...

Il est temps que, toi aussi, tu t'éloignes et ne laisse rien douter de ta présence lors de nos ébats si sensuels...Tu te demandes ce que nous allons te réserver comme surprise? Comment tu nous allons pouvoir expliquer cette liaison soudaine? Allons-nous faire comme si rien n'avait eu lieu?
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l'amour
Publié :9/4/2008 9h23
Dernière mise à jour :6/3/2009 10h47
17178 vues
Nous avions décidés de passer une bonne soirée. Donc je m‘habillai en conséquence : sous vêtements blancs et transparents, bas couleur chair, jupe et corsage blanc transparent. Lors du dîner au restaurant je sentais déjà sur moi les regards, surtout ceux des messieurs et ceux plus envieux et plus critiques des femmes, tu me souriais. Nous étions face à face. Je passai délicatement ma langue sur mes lèvres sèches, comme une invite au plaisir à venir. Mes yeux étaient plongés dans les tiens. Tu me pris la main et déposa un baiser tendre sur mes doigts et tu me dis : ce soir c’est ta soirée, je veux qu’elle soit inoubliable pour toi. Un sourire éclaira mon visage. Le dîner se prolongea dans une douce ambiance feutrée. La flamme des bougies dansait dans tes yeux, ou était-ce le plaisir. Parfois sous la table ton pied frôlait le mien, invitation muette à de tendres moments de complicité.

Puis vint le moment où tu réglas l’addition, je pris mon manteau et tu nous entraînas dehors. Tu me fis monter dans la voiture. Après avoir démarré tes mains doucement effleurèrent mes genoux puis glissèrent sous le tissu de ma jupe dévoilant mes cuisses gainées des bas. J’entrouvris mes cuisses, et ta main glissa sur mon string. Tu souriais sentant déjà la moiteur de ma culotte. J’espérais une caresse plus prolongée mais tu retiras ta main et vint humer tes doigts, ils avaient mon odeur d’amour, d’envie.

Tu te garas devant une maison éloignée de tout. Tu me fis descendre et sonnas. Une femme nous fit entrer. Elle portait une tenue très sexy, une robe qui lui collait au corps, elle nous fit entrer dans une pièce remplie d’hommes et de femmes. Une musique se diffusait en arrière fond. Tu me pris par le bras et te dirigeas vers le bar ou un homme nous offrit un verre. Je pris une eau gazeuse. Tu murmuras quelque chose à l’oreille du barman et tu me pris le bras, reposas mon verre et m’entraînas sur la piste de danse où soudain la musique se fit plus forte. J’étais gênée, les regards étaient tous braqué sur nous.

Tu collas ton corps contre le mien dans un tendre slow. Tu plaquas une main sur mes fesses et tout en dansant, lentement tu remontas ma jupe, je me tortillais de façon à t’empêcher de le faire, surtout sous le regard des autres. Mais tu insistas et posas ta bouche sur la mienne dans un baiser langoureux. Ta langue chaude entrait en contact avec la mienne, malgré la gène de la situation je commençais à y prendre du plaisir surtout que je sentais la bosse bien dure sous ton pantalon. Je vis soudain d’autres couples se caresser autour de nous, ce qui me rassura, tu enlevas entièrement ma jupe tout en continuant de danser. De dos on pouvait voir mes fesses laiteuses. Tu ouvris mon chemisier et me l’enlevas si bien que je me retrouvais en sous-vêtements devant tout le monde. Puis tu me tins à bout de bras, me fixas et dis tout fort : elle est à vous, amusez vous avec elle, comblez tous vos désirs, elle adorera. Et tu me lâchas et parti à l’autre bout de la salle, me laissant seule presque nue devant tous.

Des hommes et des femmes s’approchèrent de moi. Ils se mirent à me tâter. Des mains glissaient partout, défaisant mon soutien gorge, arrachant mon string. Des doigts caressaient, s’infiltraient entre mes cuisses. Une femme me lécha les seins, pinçant auparavant mes tétons pour les faire bien pointer et enroulant ensuite sa langue dessus. Je sentis une langue sur mes fesses. Une autre sur mon pubis, on m’écarta les jambes, des doigts prirent possession de ma chatte, d’autres se posèrent sur mon clito, la langue plus audacieuse s’insinua dans mon petit trou. Mon souffle devint court je ne savais plus ou donner de la tête.

Puis quelqu’un étala un matelas par terre on m’allongea dessus. Un homme me présenta son sexe droit comme un I et me le mit dans la bouche. J’entrepris de lécher son gland bien chaud. Puis une deuxième queue se présenta à moi, je pris les deux entre mes doigts et alterna ma langue de l’une à l’autre, entrant parfois ces sexes dans le profond de ma bouche. Je sentais contre ma joue une troisième queue qui perlait doucement. Soudain une femme cria : laissez la moi, c’était la maîtresse de maison, on lui fit place et ils se mirent autour de moi. Elle glissa sa main le long de mon corps. Accentuant la pression sur mes seins. Sa paume se posa sur ma vulve, ce qui m’arracha un gémissement, puis ses doigts doucement écartèrent mes lèvres et caressèrent mon clito, je coulais déjà, m’attendant si peu à éprouver du plaisir avec une femme. Sa bouche se colla sur mon sexe. Cela me coupa le souffle d’envie. Sa langue était habile jouant avec mon clito, les lèvres tirant parfois mes lèvres intimes, sa langue glissait quelquefois à l’entrée de mon vagin. J’ondulais sous sa douce torture. Puis ses doigts entrèrent en renfort dans ma chatte. Je criais, je voyais certains des hommes excités par se spectacle se branler doucement autour de moi. Je m’offrais impudique sous ces regards, sous le plaisir que m’offrait cette femme, mon ventre se contracta soudain et je jouis dans sa bouche dans un grand râle.

La femme bu toute ma mouille, puis se redressa un sourire aux lèvres elle écarta son string et posa sa chatte sur ma bouche en me demandant maintenant de lui rendre la pareille. Je sentis cette douce odeur un peu âcre de sa chatte avant même qu’elle la pose sur ma bouche. Son sexe était plus brun que le mien, mais épilé aussi. Sa peau était fine et douce. Je sentais sous ma langue son petit clito dressé et je m’amusais du bout de ma langue à l’exciter. Elle prenait un tel plaisir que sa chatte m’étouffait presque. Elle se branlait littéralement sur ma bouche. Ma langue s’activait de plus en plus vite et je sentis soudain son jus couler sur mes lèvres, je m’appliquais à tout prendre. Puis elle se leva, mais on ne me laissa pas pour autant.

Les hommes excités revinrent. Des bouches se trouvaient sur mon corps. On me releva une jambe et une bouche se posa sur ma chatte et une autre sur mon anus. J’étais déjà très humide du plaisir reçu auparavant. Un autre me mordillait un mamelon. Puis une queue revint dans ma bouche. L’homme pris ma tête et s’activa rapidement au fond de ma bouche, prenant celle ci comme un sexe. Il déchargea rapidement, m’obligeant à tout avaler. Voyant ma peur, la maîtresse de maison me rassura en me certifiant qu’ils avaient tous un certificat attestant qu’ils n’avaient aucunes mst. Je sentis un autre inonder ma poitrine de sperme pendant qu’une femme venait lécher son sperme sur mes seins. Tout cela était hyper excitant. Puis un autre pris la place dans ma bouche.

On me retourna et me fit allonger et m’empaler sur un sexe dressé. Je sentis la chair coulisser dans mon vagin. L’homme était bien monté et je sentais bien son sexe me prendre. Un autre après avoir préparé mon anus vint prendre ce trou étroit, je ne pus pousser un cri car tout de suite un sexe vint dans ma bouche. J’étais prise de partout et j’adorais cela. L’homme derrière moi poussait fort et vite, empalant encore plus profondément, celui qui était dans ma chatte me faisant couler encore plus fort. Je ressentis les soubresauts de celui qui était derrière moi, mais vite remplacé par un autre. Celui dans ma bouche déchargea aussi m’envoyant du sperme plein le visage et les cheveux. Une femme vint lécher le sperme sur mon visage et m’embrassa tout en glissant une main entre mon ventre et celui de l’homme sous moi et caressa mon clito. Les jouissances se succédaient. Jamais je n’avais ressenti autant de plaisir. Je coulais, gémissait, criais, avalais.

L’homme sous moi déchargea dans ma chatte et il fut remplacé par un autre. L’homme derrière moi se retira de mon cul et entra son sexe avec l’autre dans ma chatte. Je subissais une double pénétration vaginale. C’était le pied, l’euphorie, je ne sais plus ou j’étais, tout n’étais que jouissance, plaisir, frissons, Puis ils sortirent tous les deux et voulurent me prendre aussi à deux dans mon anus, mais ils n’y arrivèrent pas car celui-ci était trop étroit donc un seul se contenta d’entrer dans mes entrailles et l’autre se replaça dans ma chatte. Celui dans ma bouche déchargea encore et me dit : bois tout ma petite salope. Ce que je fis sans me faire prier.

Puis on me fit asseoir sur un sexe dos contre son ventre. On m’écarta les cuisses, son sexe entra dans mon anus. Puis plusieurs hommes m’écartèrent la chatte bien béante, que c’était bon de les voir me mater ainsi mais ce n’était pas forcément leur but un homme plaça ses doigts dans ma chatte, puis sa main entière, il me fista, je hurlai de plaisir, je ne savais plus si je jouissais ou urinais tellement j’éprouvais de plaisir. Puis l’homme retira sa main je cru en avoir terminé mais un autre s’approcha pris son sexe dans sa main et entra dans ma chatte ainsi son sexe dans la main et il se branla dans ma chatte sa main entièrement engloutie par ma chatte, je n’en revenais pas. J’étais écartelée au maximum, jamais je n’avais ressentis ce genre de plaisir mélange de douleur et de plaisir, comme un accouchement en fait. Je sentais ma cyprine couler sur mes cuisses, certains la léchaient, puis l’homme éjacula, retira son sexe et sa main toute poisseuse de cyprine et de sperme et me le donna à lécher, ce que je fis avec plaisir.

Je n’en pouvais plus, mon corps était meurtri par le plaisir, mon sexe était en feu, les hommes se retirèrent et se branlèrent tous sur mon corps fatigué et allongé, j’entendais et voyais des flaches de partout. J’avais l’impression d’avoir une chatte béante et un anus guerre mieux loti. Tous les hommes se vidèrent sur moi. C’était comme si je prenais une douche de sperme, visage, sein, ventre, chatte, cuisses, tout prenait. Puis des femmes vinrent et léchèrent le tout, même le sperme coulant de mon anus. Ce qui m’entraîna encore une ultime jouissance.

On me laissa et des couples se formèrent faisant l’amour à droite à gauche. Tu m’emmenas vers une pièce qui se trouvait être une salle de bain, je n’avais plus de force et tu me lavas doucement. J’étais épuisée mais heureuse, jamais je n’avais ressenti autant de jouissance. Tu m’appris plus tard qu’en fait qu’ils avaient été 11 hommes à me prendre les uns après les autres.
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Publié :8/3/2008 2h40
Dernière mise à jour :19/10/2008 12h57
17690 vues
Un homme était au lit avec sa femme et la température montait rapidement. Au moment de passer aux choses sérieuses, elle l’arrêta et lui dit : « non, mon amour, je ne le sens pas bien… » Puis elle ajouta : « je n’ai pas spécialement envie, je voudrais juste que tu me tiennes dans tes bras. Tu n’es pas assez en phase avec mes besoins émotionnels de femme pour que j’aie envie de satisfaire tes besoins sexuels d’homme ! « . Au regard ébahi de l’homme, elle enchaîna : « je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pour ce que je fais pour toi au lit ».

Comprenant que rien ne se passerait ce soir là, l’homme n’insista pas et se rendormi.

Quelques temps après, comme il avait des congés à récupérer, il décida de passer la journée avec elle. Après un diner au restaurant sympa, il l’emmena dans un grand magasin de mode ou il l’invita a essayer divers vêtements sous son regard intéressé. Pendant un long moment, elle essaya tout ce qui tombait sous ses yeux et parada devant lui comme une star. Finalement, deux robes retinrent spécialement son attention. Comme elle ne savait pas se décider, il lui laissa entendre qu’elle prendrait bien les deux. A l’étage suivant se trouvait le rayon chaussures, une paire neuve par robe semblait indispensable. Une jolie paire de boucles d’oreille lui faisait de l’œil, et hop, dans le panier ! Ses yeux brillaient de plus en plus !!!

Son mari la connaissant, voyait monter en elle une forme d’excitation indescriptible. Elle voulut même le tester, voir jusqu’ou il irait car elle s’intéressa aux bracelets de tennis. Elle n’avait jamais tenu une raquette, mais bon…. Il répondit oui. Puis il y eu quelques bas, de la lingerie, un foulard, les rayons parfum et maquillage et quelques bricoles.

Finalement, elle le regarda avec des yeux pétillants comme du champagne, et dit : « ça va être cher tout ça… On passe à la caisse ? » Et l’homme répondit :
« Non, mon amour, je ne le sens pas bien…. » Le visage de la femme devint béat d’étonnement et sa bouche resta ouverte. Il lui dit alors : « je n’ai pas spécialement envie, je voulais simplement te voir habillée ainsi. Tu n’es pas assez en phase avec mes capacités financières d’homme pour que je puisse satisfaire tes désirs d’achats de femme. » Et comme elle le regardait avec des yeux assassins, il ajouta : « Je voudrais que tu m’aimes pour ce que je suis et non pour ce que je t’achète ».
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Merci mes amis.....
Publié :6/3/2008 12h51
Dernière mise à jour :5/4/2011 10h47
17405 vues

Comme certains l’ont constaté je suis de retour, après une longue absence due à des problèmes personnels. Je suis revenue mais encore plus troublée par la nature humaine, enfin sur certain, sur la méchanceté de certains et tout cela parce qu’ils ont le pouvoir et que nous, nous ne sommes rien, qu’ils peuvent vous détruire par de simples mots, une simple décision, qui vous méprisent sans vous connaitre, tout cela parce qu’ils ont la supériorité sur vous, et qu’ils savent qu’ils vous tiennent en leur pouvoir, pour ceux là vous n’exister même pas, ou du moins ils ne voudraient pas que vous existiez.

Et d’un autre côté vous avez les « bons », les amis qui ne vous oublient pas, qui vous soutiennent, qui sont là à chaque moments durs, aux moments où vous craquez, ou vous pleurez. Je suis certaine que quelque personnes sur ce site se retrouveront, et je les remercie (Poupou, Nounou, Dicathy, Libertinus…….. et bien d’autres encore, je ne peux les citer tous mais je tiens à les remercier personnellement). Il y a ceux qui vous aident à vous en sortir contre des institutions obtues, qui vous rassurent et vous évitent de passer trop de nuits blanches. Et étrangement vous avez la famille, qui vous surprend, qui vous épaule et qui répond présente……

On peut vraiment dire que c’est dans la peine que l’on reconnait ses amis, ses véritables amis et pour eux je leur dit MERCI et croyez moi l’amitié n’est pas un vain mot…….
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Ma petite chatte
Publié :27/2/2008 12h30
Dernière mise à jour :5/5/2010 2h32
18011 vues
Quand ma petite chatte à faim,
Elle miaule sans fin.
Mais comme les lapins,
Ce sont les carottes qui lui plaisent, certain

Drôle de petite chatte,
Qui sans hâte,
Part à la chasse sur le site et mate.
Comme elle adore qu’on la flatte !!!!!

Elle est coquine,
La galopine.
Et à l’inverse de ses copines,
Elle n’a plus un poil, la mutine.

Animal farouche et rebelle,
Elle se fait craintive parfois la belle.
Mais ne croyez pas qu’elle soit de celle
Qui se sauve à la première étincelle…..

La gaillarde aime jouer à croque carottes avec les garnements.
Elle les fait aussi glisser sur le toboggan.
Et ils prennent l’averse souvent,
Mais l’arrivée, est plaisir cependant

De ce bon lait,
Souvent elle s’en repait.
Elle se fait lécher les babines, c’est parfait.
Et c’est ainsi qu’elle se satisfait.

Ma petite chatte, souvent, elle plait. Vous êtes étonné ???
Mais il faut la mériter.
Très, très souvent elle adore jouer,
Mais avant, il faut bien savoir la caresser pour l’apprivoiser…….
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La patience
Publié :24/6/2007 22h41
Dernière mise à jour :6/4/2008 14h34
19684 vues

Je suis désolée, comme vu avez pu le constater, en ce moment je suis très peu sur le site, manque de temps, trop de travail. Alors ne vous inquiétez pas, je suis là mais moins présente. A mon avis il en sera ainsi tout l’été. Dés que j’ai une minute je passerai sur vos blogs promis.

Et vu le temps en ce moment voici une petite histoire

La patience :

C'est l'histoire d'une institutrice de dernière année de maternelle, au milieu de janvier, le mois le plus dur pour tout le monde...

Un des lui demande de l'aide pour mettre ses bottes pour aller en récréation et, en effet, elles sont vraiment difficiles à enfiler. Après avoir poussé, tiré, repoussé et tiré dans tous les sens, les bottes sont enfin chaussées et le dit :

"Elles sont à l'envers, maîtresse"

La maîtresse attrape un coup de chaud quand elle s'aperçoit qu'en effet il a eu inversion des pieds... Bref, nouvelle galère pour les enlever et rebelote pour les remettre mais elle réussit à garder son calme jusqu'à ce que les bottes soient rechaussées, aux bons pieds.

Et là le lui dit avec toute la candeur qui caractérise les :
"Ce n’est pas mes bottes".

A ce moment, elle fait un gros effort pour ne pas lui mettre une baffe, fait un tour sur elle-même en se mordant les lèvres, se calme et lui demande pourquoi il ne l'a pas dit avant... Comme le voit bien qu'il a contrarié sa maîtresse, il ne répond pas. Elle dit alors :

"Bon, allez, on les enlève" et elle se met à nouveau au boulot.

Le deuxième pied est presque sorti quand le poursuit :
"C'est pas mes bottes, c'est celle de mon frère, mais maman a dit que je dois les mettre".

Là, elle a envie de pleurer mais, une nouvelle fois, elle se calme et entreprend de lui re- re- mettre ses bottes. L'opération est enfin réussie et la maîtresse se sent fière d'avoir réussi.

Pour aller jusqu'au bout, elle le met debout, lui fait enfiler son manteau, lui met son cache-nez et lui demande :

"Où sont tes gants?"

Et le de répondre le plus simplement du monde :

"Je les ai mis dans mes bottes."

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La cigale et la fourmie des temps modernes
Publié :16/6/2007 12h51
Dernière mise à jour :21/1/2008 11h26
19017 vues

Vous connaissez cette fable ?

Il était une fois une fourmi et une cigale qui étaient de grandes copines.

Pendant tout l’automne, la petite fourmi travailla sans relâche, engrangeant de la nourriture pour l’hiver.

Elle ne profita ni du soleil, ni de la douce brise des belles soirées, ni des bavardages entre copains en savourant une petite bière fraîche après une journée de labeur.

Pendant ce temps, la cigale, quand à elle, faisait la fête avec ses amis dans les bars de la ville, ne gaspillant pas même une minute, chantant tout l’automne, dansant, profitant du soleil, prenant du plaisir sans se préoccuper de la mauvaise saison qui finirait bien par arriver….

Puis lorsque vint le froid, la petite fourmi, exténuée par tout ce travail, se réfugia dans sa modeste demeure remplie de nourriture jusqu’au plafond.

La porte à peine refermée, voilà que quelqu’un appelle la fourmi depuis l’extérieur. En ouvrant la porte, elle se trouve éberluée devant son amie la cigale au volant d’une Ferrari et portant un somptueux manteau de fourrure !

La cigale luit dit :
- Bonjour mon amie ! je vais passer l’hiver à paris. Tu voudrais bien veiller sur ma petite maison ?
La petite fourmi lui répondit :

- Mais bien sûr ! sans problème. Mais dis moi, que t’est ‒il arrivé ? Où as-tu trouvé l’argent pour aller à Paris, t’acheter cette Ferrari et ce magnifique manteau ?
Et la cigale :

- figure-toi que je chantais dans un bar la semaine dernière et un producteur a adoré ma voix. J’ai signé un contrat pour des spectacles à Paris. A propos, as-tu besoin de quelque chose là-bas ?

- Oui, répondit la petite fourmi, si tu rencontres LA FONTAINE, envoie-le chier pour moi !



Morale

Profitez de la vie, trouvez le bon équilibre entre le travail et les loisirs, car trop travailler n’apporte des avantages que dans les fables de la Fontaine.

Travaillez et profitez de la vie, car elle est unique. Si vous ne trouvez pas votre moitié d’orange, ne vous découragez pas, cherchez un demi citron, ajoutez lui du sucre, de l’alcool, des glaçons et soyez heureux !

Et souvenez vous de ceci : ne vivre que pour travailler fait du bien….. Au patrimoine du patron !

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Avec moi, veux tu jouer ?????
Publié :8/6/2007 12h45
Dernière mise à jour :7/12/2010 12h14
18434 vues


Sortira t elle la petite bête ?
Que je vois enfin sa tête
Sors de cette salopette !!!

Retire ton col roulé
La chaleur commence à te faire couler
T’en devient tout rouge foncé

Mon dieu que tu as grossis !!!
Je ne t’ai pas vu grandir aussi
Pourtant je n’ai pas soufflé , promis

Oh tu as comme des roulements à bille dessous
C’est marrant c’est tout doux
Oh ! elles se resserrent, c’est fou

Je vais finir par la déshabillée comme ça
Hop coucou la voilà
Elle était cachée cette coquine là....

Le piston est bien huilé
L’amorce est sûrement déclenchée
Je ferai mieux de me méfier

Eh ! Mais tu as envoyé la purée
Regardes partout tu as giclé
Tu as crépis même le bout de mon nez

Si tu crois que je vais tout nettoyer maintenant
Moi je voulais juste m’amuser en attendant
Elle est mauuuvaise jouuuuueuuuuuuuse, han !!

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la vie est amour.....
Publié :5/6/2007 2h42
Dernière mise à jour :8/7/2009 9h14
19074 vues


La vie devrait être belle
Laissons-nous abreuver du sourire d’un
La vie devrait être belle
Ayons le cœur d’un géant

La vie est sourire
Humons le parfum du bonheur
La vie est sourire
Essuyons d’une caresse sur la joue les pleurs

La vie est féérie
Dansons la valse du partage
La vie est féerie
Rêvons d’un monde sans nuage

La vie est à croquer
Faisons envoler en éclats les rires
La vie est à croquer
Donnons aux un bel avenir

La vie est amour
Pénétrer en nos cœurs la douceur
La vie est amour
Bannissez en vous la rancœur

La vie c’est hier demain et aujourd’hui
C’est mon amour pour vous
La vie c’est hier demain et aujourd’hui
C’est mon cœur ouvert à tous

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